MJ- Jouer à Game of Thrones (Part 1)

Dans cette vidéo inaugurale, Mathieu fan de la première heure de cette série, vous donne quelques conseils bibliographiques sur le monde sans cesse en évolution  de George RR Martin. Que vous soyez joueur, MJ ou simple fan de la série, cette vidéo est pour vous.

Les deux parties suivantes seront consacrées à la mise en place de campagne, les choix qui s’offriront à vous et tout ce qui vous aidera à faire la transposition entre les livres et la table.

  • Beyond the Wall
  • Game of Thrones and Philosphy
  • Le Travel Guide
  • Les Cartes du Monde Connu
  • Personnellement, les cartes de JE Fullerton sont encore plus belles et avec bien plus d’âme (sans parler du fait qu’elles étaient là avant touteson références hors-livre. Quel travail d’artiste..)
  • Les Origines de la Saga (le Monde de AGoT)
  • Art of …  Nous mettons ici le lien mais les prix sont assez exorbitants.
  • Egalement, et oublié par Mathieu, les Rois Maudits de Druon où dès les premières pages on parle de personnes « envoyées au Mur »…Chef d’oeuvre français qui se lit avec une aisance rare, c’est un incontournable. Martin en signe le blurb de la traduction anglaise et on le voit désormais aussi dans la version française, dans un triste mouvement commercial mais bénéfique pour l’oeuvre. Il avait écrit un article à la mort de Druon sur son blog.
  • Bien sûr, le site de la Garde de Nuit est une incontournable source de référence.

Bien sûr, nous n’avons pas vocation à être exhaustif et c’est à dessein que nous n’avons pas parlé des bons mots de Tyrion, du cahier de coloriage, des nombreux ebooks non-officiels, des pop up books, de Egg and Dunk etc. Vos contributions sont bien évidemment les bienvenues!

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11 thoughts on “MJ- Jouer à Game of Thrones (Part 1)

  1. Très bonne vidéo. Hâte de voir la suite. Passer il y’a 3 ans au JDRTDF fut une bonne surprise, voire même une révélation pour atteindre un nouveau niveau de jeu/mastering avec des difficultés nouvelles : se renouveler, rendre les rencontres intéressants, etc car on ne peut pas « occuper » les joueurs avec un bestiaire type DD. Ils faut des PNJs avec du relief, un cadre solide et structurée, des intrigues nombreuses d’importances diverses, etc. On a quand même joué la centième récemment ^^ Bref, très curieux de voir comment tu gères, etc.

    1. Tu touches LE point important. (La prochaine video explique dans une partie ce qui fait ou ne fait pas l’ambiance de TDF). Par exemple, nous nous étions rendus compte que nous lancions très peu les dés et un joueur faisait remarquer que nous étions parfois dans des interactions à la Ambre ou à Vampire. C’est ce que le jdr D20 ne rendait pas, à savoir que totu devait se règler en jet de dé, même lutter contre la piétaille. Somme toute, il y a assez peu de combats dans le roman et on ne peut mettre une fréquence de combat comme un D&D / Pathfinder classique.

  2. 🙂 Quand on pratique depuis l’âge d’or de Jeux Descartes, on a eu le loisir de tester tout et son contraire. Pour TDF, entre le coté ultra réaliste low fantasy (very low ^^), les images fortes véhiculées par la série, la disponibilité très faible de scénarii/campagne, cela impose un niveau de théatralisation conséquent : des PNJs bien léchés, passer du paysan pequenot au brigand un peu bête, du chevalier arrogant mais illettré au seigneur hardcore. J’emplois un max d’artifices/accessoires : musique, lumières, rideau fermé, etc pour l’immersion. C’est plus facile de garder les joueurs focus à Pathtfinder/Donjons en posant des monstres sur le velleda et en chantant « Initiative! » que de faire des dialogues ciselées en one-to-one pendant que le reste de la table attends. Le teamplay est compliqué sur TDF ou les personnages ont pourtant un dénominateur commun : la maison d’appartenance. TDF demande beaucoup de maturité, car on est pas réaliste et conforme avec le genre si on fait du fan-service et que les PJs roulent sur tout sans conséquence comme à Pathfinder. Bref, je pourrais en parler des heures :p

    1. Ça tombe bien, moi aussi :-). Il est un des jeux les plus exigents et étrangement il provoque la même autodiscipline chez les joueurs qu’avec Pendragon. Une sorte de sérieux emprunt de responsabilité

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